Les Dragons de Saphir
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 Sw V3

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Lenia
Dragon très bavard
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Lenia


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Sw V3 Vide
MessageSujet: Sw V3   Sw V3 Icon_minitimeDim 2 Nov 2008 - 21:22

Comme promis, voiçi les premières lignes de la troisième version de l'histoire (sans doute la définitive après bientot quatres ans de réflexions)
J'attends avec impatience votre avis sur les deux versions, et quel début vous préférez ? ^_^

Sw V3 livre I : l'apprentissage

Je m’appelle Lenia. J’ai trois ans et déjà je vis dans un orphelinat, sur ma planète natale, Naphira. Je n’ai aucun souvenir de mes parents, car ils sont morts lors d’une grande guerre, qui a beaucoup détruit et marqué les esprits. J’étais trop jeune pour m’en rappeler. Mais d’après ce que j’en ai entendu, c’était une horrible guerre, qui m’effrayait sans l’avoir vécue réellement. Il y a eu beaucoup de morts et disparus dans les deux camps. Y compris des innocents. Enfin…tout cela ne me regardes pas. Mes parents ont disparu lors de cette guerre, me laissant orpheline, n'ayant pas d'autre famille. J'ai donc été placée en institution spécialisée, l'orphelinat de Bina. J'y ai passé mes pires années. J'y suis rentrée alors que je n'étais encore que bébé, et n'en suis presque jamais ressortie. Comment vous décrire l'horreur de ce lieu ? Imaginez un groupement de vieilles bâtisses entourée de murs vertigineux, des dortoirs minuscules, des classes minables...bref un ensemble minable. Parfait reflet du directeur, que je déteste, il me punit presque tous les jours. Il faut dire que j'ai des capacités hors du commun : une force mystique est en moi, et me rends bien des services : faire voler tout et n'importe quoi, lire dans les pensées des gens, repousser ce qui me gène...et d'autres choses encore. Mais à chaque fois que ce phénomène apparaît, je me fais punir et je vais dans la salle de correction, où l'on te fouette sans relâche. J'ai été jusqu'à 200 coups de fouets une fois. Bon, ok, c'était parce que j'avais fais voler une fille contre un toit, mais quand même...
Mais un jour, jour décisif pour mon futur, un homme débarque dans l'établissement : il n'était pas très grand ni petit non plus, et je ne voyais pas son visage, comme il est couvert par une capuche. Mais je reconnu l'accoutrement Jedi, l'ordre qui me faisait tant rêver par leurs actions pour la paix. A l'époque, pour être honnête, je pensais faire carrière dans l'aviation, pour protéger ma terre. Tout allait changer l'espace d'une journée. Cet homme étrange parlait avec le directeur, entre les deux rangées d 'élèves rassemblés pour l'occasion. J'entendais le dirlo dire :

- Ce ne sont pas des cas brillants, mais pour certains, il y a de l'espoir, comme mademoiselle Diro par exemple.

Je compris rapidement que l'un d'entre nous pourrait sortir avec cet homme, et je refusait que ce soit cette fichue Hélène Diro, une pauvre fille blonde qui se la ramenait tout le temps et qui me persécutait à toute heure. Je pestai, et le directeur le remarquait :

- Excusez moi un instant...

Il bondit vers moi, et me saisit par le col de mon uniforme. Je le regarde sans broncher, habituée à ces humiliations en public. Le regard bleu glacé que je lui lance ne lui plaît pas, et il me donne un coup de point violent sur le visage, puis me balance contre un mur. Mes camarades me regarde plaintivement et avec crainte, sauf Diro qui rit dans mon dos. Je me relève lentement, et j'entends le Jedi qui accoure, criant au directeur de cesser immédiatement. Je regarde mon tyran avec un regard bleu chargé de colère, et je sens la force mystique m'envahir. Une lanterne du toit tremble, se tord, puis tombe avec fracas à deux millimètres du directeur. Je l'avais volontairement manqué, ce n'étais qu'un avertissement, qui signifiait :  «  ne me touche pas plus ! » Il me regardait avec haine, et levait son poing de nouveau vers moi. J'ai peur, et me referme sur moi même, redoutant le coup. Mais il ne vient pas. Étonnée, j'ouvre les yeux et lève mon regard de mes bras : l'étrange Jedi avait arrêté sans difficulté le bras de la brute, et le regardait avec agacement. Silencieusement, je m'inclinai pour m'excuser, et m'apprêtait à regagner ma place dans le rang quand le Jedi me dit d'une voix ferme :

- Reste. Je t'emmène avec moi. Je pense que monsieur sera d'accord ? Questionne t'il en regardant le directeur.
- B..bien sûr ! Je vais prendre les papiers. Séry, allez chercher vos affaires.

Je range rapidement le peu d'affaires que je possède, et redescend avec un petit sac. Je quitte l'orphelinat avec tristesse, pensant à ma meilleure amie, Tymothy Jyler, qui était restée là bas, et à qui je n'avais pas pu dire au revoir. A un moment, le Jedi retire sa capuche, et commente :

- Belle planète, mais quelle chaleur en cette saison ! Tu ne trouves pas, Lenia ?

Je ne sais pas trop quoi répondre, habituée à être appelée Séry par les grandes personnes. Cette réaction surprend le Jedi :

- C'est bien Lenia ton prénom ?
- Si...monsieur...
- Appelle moi Sarien, va !

Je hoche la tête pour lui dire que j'avais compris, mais garde mon silence. Puis j'entends un hennissement à travers la plaine de l'île. Aussitôt, je me retourne et siffle une note particulière. Une pouliche noire vient à ma rencontre. Une petite pouliche de deux ans, que j'avais sauvée il y a longtemps. Je l'avais baptisée Casana Nyria , ce qui signifie en Naphirien « Dame de la Nuit ». Sans prêter davantage d'attentions au Jedi, je cours vers Casana, et flatte la pouliche, qui vient se blottir contre moi, effrayée. Se doutait-elle que j'allai la quitter ? Je lui murmure en naphirien de ne pas s'inquiéter. Puis doucement je m'écarte, et je la pousse à rejoindre son troupeau de chevaux sauvages. J'ai un pincement au coeur en la voyant partir. Puis je rejoins le Jedi, et je prends enfin la parole :

- Où allons nous, monsieur Sarien ?
- Dans un endroit où tes capacités et toi seront appréciés à leur juste valeur. Tu vois ce vaisseau là bas ? Nous allons quitter ta planète pour une autre, assez éloignée, Coruscant. Tu sais, l'une des planètes les plus importantes de la galaxie ?
- Je sais pas monsieur. On m'en a juste appris le nom en cours d'astronomie.

Quelque chose semble le déranger, comme je l'entends murmurer :

- L'enseignement de ce lieu laisse à désirer...
- Dîtes, monsieur ?
- Oui, Lenia ?
- Le pouvoir. Ce pouvoir...c'est parce que je suis anormale que je l'ai ? C'est une malédiction, c'est cela ?

Il en sourit, et rit gentiment, tout en me répondant :

- C'est plutôt une bénédiction. Les personnes pouvant percevoir la Force ne sont pas nombreuses...
- La quoi ?
- La Force. Ce pouvoir que tu as, tous les Jedi le possèdent, à puissance variable. La Force n'est ni mauvaise ni bonne de nature, c'est son possesseur qui la rend ainsi. C'est selon tes actions qu'elle varie.

Je souris doucement, puis repense à tout ce que je venais d'apprendre, avec une grande joie au coeur : je n'étais plus toute seule ! On entre dans un grand vaisseau de transport, nommé « L'aster ». Allez savoir pourquoi. Je m'assois sur un siège, pendant que le jedi Sarien sortait un drôle d'appareil. Puis il se souvient que j'étais blessée. Il tends sa main, et la pose sur mon épaule. Sa main s'entoure d'une aura bleue, et je sens mes blessures se refermer doucement. Sur la dernière, il pose son appareil et semble recueillir quelques gouttes de mon sang. Puis il met l'appareil non loin d'un ordinateur, et l'insère. Je vois des cercles se dessiner, beaucoup de cercles, et le nombre 15000 apparaître. Je ne sais pas ce qu'il représente, mais je devine que cela doit être d'une bonne augure, car le jedi semble satisfait. Il me dit avec douceur :

- Tu as un sacré taux de midi-chloriens, dis moi !
- De quoi, monsieur ? Cela se mange ?
- Non, cela ne se mange pas. C'est quelque chose présent en toi dès ta naissance, m'explique t'il avec patience. Plus tu en as...plus...mieux c'est, si la carrière des Jedi t'intéresse.

Je regarde dans le hublot, sachant pourtant que je n'y verrais rien. Puis réponds :

- Je n'ai pas trop de choix, en même temps...ils me battront ailleurs.

ps : ne pas le séparer de SwV2, ils sont liés
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